« D’une Vérité à l’autre. » Pascal HUBERT

 

 

D’une Vérité à l’autre

 

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« Depuis la nuit des temps, l’humanité se divise en d’innombrables croyances religieuses. Quelle Vérité ? Quel Dieu ? Quelle religion ? Et, pour les chrétiens, que signifie ‘croire en Jésus’ ? Et si nous abandonnions nos vieux schémas de pensée ? Ceux appris telles des ‘idées reçues’. Prétendument indiscutables, mais jamais expérimentées. Comment se rejoindre enfin, quels que soient l’époque et le lieu de notre naissance ? C’est à ces quelques questions, existentielles et intemporelles, que tente de répondre D’une Vérité à l’autre. »

Quatrième de couverture

 

I

Les religions mensongères

 

     Les religions ont un livre dit « Sacré » et des millions d’adorateurs. Le veau d’or s’est mué des dieux de pierre aux dieux imaginaires. Mais c’est la même ignorance, la même violence, les mêmes peurs ancestrales. Le sacré ne veut rien savoir, sa vérité lui suffit. La science et la démocratie lui sont ontologiquement néfastes. Elles sapent les fondements de son autorité, la relèguent dans la sphère privée. Celle des chimères et des superstitions.

     Les religions veulent régir la Cité, mais ne vous apportent aucun progrès, aucune solution, aucun confort de vie. Au contraire, au nom de leur Vérité, elles luttent contre toute évolution. Au nom de leur Vérité, elles condamnent l’Humanité. Elles mettent à l’index, jugent, persécutent, menacent de l’enfer. C’est une constante : là où la raison s’ouvre, le besoin de religion recule. Là où la religion est au pouvoir, là cesse la liberté de croire ou non. La pensée religieuse est unique, totalitaire. Le vrai fonds de commerce des religions, c’est finalement votre mort.

     Si l’humain était immortel, les religions disparaîtraient – on n’embrasse pas une religion par amour, mais par besoin, par intérêt, pour donner un sens à sa vie. Ce qui est déjà vrai entre les humains sur terre, l’est évidemment envers le Dieu invisible : un même égoïsme, un même besoin de posséder et de détenir la vérité envers et contre tous, le même ego. En retour, le croyant fidèle doit être comme son Livre : figé, pétri de certitudes immuables. Sa foi est sa boussole. Il doit rester aveugle et sourd au monde. Sa soumission – qu’il apprendra à aimer telle une vertu – sera la clef de voûte de son salut. Les promesses de vie éternelle exigent, en retour, qu’il renonce au bonheur de vivre. Il rythmera sa vie par la prière, les rites et autres comportements prétendument moraux. Puisqu’il est né pécheur, il devra expier sa faute – mais, heureusement, Dieu est Miséricorde.

     À un moment, je n’ai plus pu croire à ces inepties d’un autre âge.

Pascal HUBERT, D’une Vérité à l’autre (extrait)

 

 

D’une Vérité à l’autre

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Ce livre est la suite  Des illusions à soi

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2 réponses sur « « D’une Vérité à l’autre. » Pascal HUBERT »

  1. Mon amie qui avait vu une émission sur la situation des femmes en Inde me faisait remarquer que dans leur situation dramatique seule la religion les aidait à vivre. Sa remarque m’a fait réfléchir. Alors que nous sommes persuadés que les religions sont la source de tous les maux humains, elles sont une aide et un espoir pour de nombreuses personnes dans le monde.
    Prendre de la distance avec les religions, mettre en doute leurs bienfaits n’est-il possible qu’à ceux qui vivent dans des pays privilégiés, démocratiques et aux avancées culturelles importantes?

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  2. C’est un fait, la religion a une fonction consolatrice, ce qui n’en fait pas pour autant une vérité. Marx, de son côté, avait déjà relevé que la religion était l’opium du peuple.

    Ce n’est que mon avis, mais il me semble que les croyances religieuses peuvent s’expliquer de trois manières au moins :
    – la peur
    – l’ignorance
    – la pauvreté

    les croyances religieuses viennent ainsi combler un « manque »; que ce « manque » vienne à être combler, et il y a de fortes chances que les croyances reculent.

    C’est effectivement ce qui se passe en Occident.

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