Et je choisis de vivre

Et je choisis de vivre 

« La pire des solitudes, c’est être coupé de soi-même,
c’est vivre dans l’ignorance de ce qui nous gouverne,
c’est ne rien comprendre à ce que nous sommes. »

Charles Juliet

 

Être en paix avec soi, c’est être en paix avec le monde entier. Être en paix avec le monde entier, c’est être en paix avec soi. Qui n’aspire à cette bienveillance ? Qui ne désire être pleinement réconcilié ? Il est des moments de présence à soi où cette évidence se devine enfin. Il n’est pas de plus profonde joie que d’aimer et d’être aimé. Un état « en soi », non plus d’une vie marchande. Une gratuité offerte. Une parole, un geste, un regard qui illuminent votre quotidien. Et, soudain, tout coule de source.

C’est un long chemin, n’est-ce pas ? Mais qui débute avec des petits pas, des trois fois rien. Des riens qui nous élargissent peu à peu et nous font entrevoir un monde nouveau. Pour sortir de la souffrance, de la honte, de la culpabilité. De notre statut de victime parfois. Pour ne plus y rester ni en jouir. Ce que l’on connaît déjà, ce que l’on vit est si confortable parfois. Quitter le connu pour l’inconnu, voilà le difficile. Voilà la peur, la crainte de faillir, de retomber dans la douleur du connu. Oser pourtant, se faire confiance, partir à l’aventure.

Un jour, tu sais qu’il te faut impérativement changer de vie. Tu comprends que tu vas droit dans le mur. Ces murs intérieurs devenus infranchissables. Tu t’es, peu à peu, coupé de toi-même, et des autres. Tout en toi devient tourment et confusion. Tu pourrais parfaitement tomber dans la folie, la maladie ou le suicide. Tu es au bord de l’abîme, peut-être déjà tout au fond. C’est l’heure du choix ultime : disparaître à jamais ou renaître enfin. L’effondrement est là, mais tout reste encore possible. Tout devient enfin possible !

Prendre conscience de nos peurs qui, inlassablement, paralysent nos pensées et nos gestes du quotidien. Pour ne plus en être tributaire, les abandonner désormais et élargir enfin le champ des possibles. C’est que la liberté nous fait si peur. Muselés par les multiples croyances, blessures et conditionnements de nos vies.

Que deviendrais-je, si j’osais enfin :

Choisir la vie…

 

 

 

 

”Rien ne vous emprisonne excepté vos pensées, rien ne vous limite excepté vos peurs, rien ne vous contrôle excepté vos croyances. »

Marianne Williamson

 

 

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ou à m’écrire à deviens.ce.que.tu.es333@gmail.com

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